A mon volant ou dans le taxi, toujours pressée, toujours en retard, toujours en malaise d’aspirer à une belle et apaisante vie et de vivre plutôt son contraire …
Toujours, me suis-je demandée, comment faisaient ces plaisanciers de la vie assis à une terrasse de café, à bénéficier d’un temps qu’ils prennent pour eux …
Connaitre cette détente délicieuse de n’avoir rien à faire, là, dans l’instant présent sinon à siroter un moment de joie, de ce plaisir à flâner… le farniente …
Oui, je voudrais être de celles-là qui s’assoupissent sous le rayon doux du soleil printanier, un livre et un thé à la main, bercée par le clapotis bruissant d’une ville qui a un coeur qui bat … un jour, peut-être … à suivre…
Nathalie